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lundi 6 mai 2013

Il était une poisse....

Cette histoire m'est arrivée il y a maintenant presque 2 ans, et fait partie de celles qui ont donné son nom à ce blog: j'ai nommé le vol de ma carte bleue.

Celles qui me connaissent personnellement, savent aussi par coeur le déroulement de cette histoire, pour les autres, vous la voici enfin contée, avec une fin qui vous surprendra toutes. Moi la première!


Le récit commence un jeudi soir d'août, sortie du bureau 17h, on prend la voiture de maman, direction IKEA pour acheter le meuble TV qui achèvera de meubler mon nouveau chez-moi chéri. Arrivée sans embouteillages chez le Suédois, c'est aussi avec une impressionnante rapidité que je trouve le meuble tant recherché. Le carton est un peu lourd? Qu'à cela ne tienne, je vais faire contre gros muscles, preuve d'ingéniosité, puisque même Monsieur et Madame Dupont, dans la même allée, refusent ostensiblement de me prêter attention et main forte.

Passage en caisse: check. Je me dirige donc vers le parking, ébauchant déjà le plan de chargement dudit carton dans le coffre de la 207. Ca va être compliqué, mais je peux le faire, TOUTE SEULE! C'était sans compter sur l'aide fort aimable d'une jeune femme se trouvant justement sur le parking à ce moment-là. La pauvre avait perdu ses clés de voiture (le 4x4 BMW garé à côté), mais offrit de m'aider le temps que son mari arrive. Un sac Miu Miu au bras, et un look entre Zadig et American Vintage, c'est si rare de mêler bon goût et amabilité! 

Le carton ne passant pas dans le coffre, je jette négligemment mon 24h, ouvert dans le coffre, histoire de gagner du temps, et me dirige vers la portière arrière pour baisser les sièges. Nous rentrons sans effort le meuble dans la voiture. Et me voilà repartie chez moi, pas peu fière d'avoir si rondement mené cet achat.

Le lendemain, au moment de payer mes courses du week-end, impossible de remettre la main sur ma carte bleue. Je retourne donc chez Ikea, croyant l'avoir laissée tomber en la rangeant à la caisse. En attendant mon tour au service après-vente, je checke tout de même mon compte en banque, juste au cas où... Un découvert de 150€??????? Impossible, j'avais calculé mes dépenses au cordeau. Et ce retrait de 440€ hier à 19h? Ce n'est pas moi, c'est certain! Je veux bien être sujette à des troubles psychologiques mineurs, mais de là à être complètement schizo, il y a une marge.

Je dois me rendre à l'évidence: la bonne saint Maritaine d'hier, n'est en fait qu'une voleuse fort agile au train de dépenses effréné. 2500€ en 2 jours... A ce prix là, moi aussi des sacs Miu Miu, je m'en achète tous les jours.

Il faut tout de même préciser que cette charmante personne s'était a priori mise derrière moi à la caisse, avait vu et retenu mon code, pour ne voler que la carte qui l'intéressait. Assez pro, n'est-ce pas...

Bref, dépôt de plainte, pseudo enquête, qui mène quelques mois plus tard à une photo prise sur la vidéosurveillance d'Ikea. Et puis plus rien, jusqu'à la semaine dernière... Un numéro inconnu sur mon portable: "Bonjour Mademoiselle, commissariat de Bobigny..." Et 2 minutes plus tard, on m'invitait à témoigner au procès de la voleuse, dont le casier judiciaire est apparemment plus que rempli. 

Comme quoi, toute faute est nécessairement payante et porter plainte est un devoir citoyen, qui peut parfois payer. A bon entendeur, salut!


mardi 30 octobre 2012

La SPA des coeurs

L'hiver arrivant à petits pas, accompagné de sa douce amie la froidure, mon célibat s'est fait de plus en plus douloureux. 

Entre bataille seule contre les vents et les pluies, grand lit vide à la température de glacière et longues soirées à éplucher magazines et blogs de mode, un constat s'est imposé: il me faut un mec. 

Face à cette évidence, mon regard s'est tout d'abord tourné vers ceux que je connais. De toute vraisemblance, si je leur ai préféré mon nounours, c'est qu'il devait bien y avoir une raison! Puis, j'ai attendu quelques jours que le Prince Charmant pointe le bout de sa barbe de trois jours un matin, au coin d'une rue: en vain. S'il savait où j'habite, j'imagine qu'il se serait déjà déplacé!

mardi 25 septembre 2012

Et bonne rentrée à tous!

L'avantage, quand on part après tout le monde, c'est qu'on rentre après tout le monde. Et quand on a passé l'été à regarder le ballet de nos collègues vacanciers, cette expérience de vacances tardives n'a pas de prix... Sauf celui d'une rentrée sous une belle pluie d'automne...Je m'en vais donc vous compter fleurette: pour le retour de Loulou, rien ne vaut une bonne histoire de poisse!

Tout avait plutôt bien commencé: en avance pour une fois et avec un succès sur le brushing. Et il faut dire qu'avec ma nouvelle coupe, cette étape est indispensable. La rentrée s'annonçait donc radieuse.

dimanche 10 juin 2012

La vengeance du chat

En week end à Milan, je tombe sur une boutique du designer Alessi et j'adoooooore Alessi.  Je flâne dans les rayons et là je retombe sur une gamelle pour chat que j'avais vu dans une boutique en Suisse, il y a quelque temps. 

Bon, j'ai un chat. C'est-à-dire que je ne regarde pas les gamelles pour chats juste pour le fun. Et je songe à l'état pitoyable des gamelles de mon chat. Du coup j'entrevois la possibilité de l'achat utile. C'est pas seulement parce que cette gamelle est décidément trop cute. Allez, emballée la gamelle. 

A mon retour, j'installe fièrement ledit objet design dans la cuisine, en lieu et place des désormais ex-gamelles. Et je me dis que mon chat à définitivement trop de chance d'avoir une proprio aussi attentionnée et pleine de bon goût que moi. 

Arrivée du chat dans la pièce. Démarche nonchalante. Et là, stupeur. ELLE EST OÙ MA GAMELLE? 
Mon chat étant très mignon mais un peu limité (comme c'est souvent le cas pour la gente masculine), je lui montre que ses croquettes ont migré vers un lieu de résidence vachement plus sympa. Il fait le tour de l'objet. Me regarde. Refait un tour de l'objet. Et me regarde à nouveau. Le regard est plein de haine. 

dimanche 27 mai 2012

La cuisson des endives

Je m'appelle Loulou et ça fait 3 semaines que je suis au régime. 

Cette déclaration solennelle mériterait des applaudissements soutenus tant se tenir à un régime stricte à base de vert, de vert et de vert peut s'apparenter aux 12 travaux d'Hercule. 

L'autre jour par exemple j'avais envie d'endives. 

Enfin non, j'avais envie d'un fat burger de chez McDo mais disons que les endives semblaient être une alternative acceptable. 

Je vérifie l'intérieur du frigo. Endives : checked. Ingrédient pour une béchamel "light" : checked aussi. Oui, oui, il existe bien des recettes de Béchamel light. toute personne ayant déjà fait un régime dans sa vie sait cela. C'est la base. 

mercredi 9 mai 2012

L'enfer du fruit

On connaît toutes cette célèbre chaîne de restaurants parisiens: le Paradis du Fruit. A en juger par le titre de cet article, vous vous doutez maintenant que l'objet ici n'est pas un éloge. Et c'est bien dommage, car autant j'apprécie les salades, les plats, les smoothies et autres desserts pour leur fraîcheur, leur saveur et leur originalité, autant le service me fait hérisser les poils.

Venons-en aux faits et surtout au lieu: Le Paradis du Fruit de l'Avenue Georges V, ou le concours du responsable le moins commerçant et de la serveuse la plus hautaine. Mon dernier dîner à cette adresse date d'il y a environ un mois, et je peux vous assurer que cette ultime déception m'a convaincue de ne plus JAMAIS y remettre les pieds.

lundi 30 avril 2012

Le cirque du soleil

Ce mois d'avril m'a un peu fait perdre la tête. Le soleil a joué aux giboulées, et franchement ça m'a beaucoup agacée, au point de développer une théorie sur ses apparitions furtives.

Oui parce que Monsieur l'astre de lumière a décidé de nous narguer pour mieux jouer avec nos nerfs. Si, si je vous jure. 

Tenez, le matin, vous vous levez, et pour une fois depuis des mois, le jour est déjà là. Les rayons filtrent à travers les rideaux, vous laissant présager une journée printanière des plus agréables. Qu'à cela ne tienne, vous sortez les ballerines! Erreur fatale! Car le coquin aura décidé de se cacher au milieu de votre trajet appart/métro. Et quitte à faire, vous êtes à la bourre, comme d'habitude. Sortie du métro: re-belotte, c'est la douche. 

vendredi 27 avril 2012

"Bonjour Madame, est-ce que je peux vous renseigner?"

Ou la phrase que l'on répète en boucle lors d'une semaine de vente dans un des temples du shopping parisien.

Dure condition que celles des vendeuses, pardon, des démonstratrices des grands magasins.
Au-delà de la répétition, ce qui m'a surtout marquée, c'est l'envers du décor. Peinture sur crasse=propreté comme le disent certains...

mercredi 21 mars 2012

Giboulées

Je déteste les changements de saison, quand les températures hésitent entre chaud et froid et votent donc pour un statut quo: il fait chaud puis froid puis chaud.

Dans ces périodes là, s'habiller chaque matin est une épreuve. Et je maudis les partisanes de la stratégie des "couches": chemise (pour le cas où il fait chaud) + petite veste (pour la clim du bureau) + sur-veste (parce que ce matin ça gèle) et finalement le manteau et l'écharpe.

Une fois qu'on est arrivé à empiler tant bien que mal toutes ces choses si mal coordonnées il s'agit de se mouvoir jusqu'à la porte. On est tellement engonsé que chaque mouvement est une épreuve.

En parlant d'épreuve, je n'aborderais pas celle du miroir qui vous met le moral au fond des chaussettes. Même le bonhomme Michelin, qui a à peu près la même corpulence que vous ce matin, a l'air plus gracile dans son habit de pneus.

Reste à se plier pour entrer dans l'habitacle de la voiture et déjà vous avez des sueurs à l'idée de devoir vous extirper de là devant vos collègues sur le parking du bureau. Vous venez de perdre 15 minutes à essayer de lever le bras assez haut pour fermer votre verrou (et avez au passage déchiré la doublure de votre manteau). Il est donc évident qu'avec le quart d'heure de retard, il est HORS DE QUESTION, de prendre le temps d'enlever une couche pour être plus à l'aise au volant. Parce que cette couche, il s'agira de la remettre ensuite ... et on ne s'en sort plus. 

Bref, vous suez. Vous ne savez d'ailleurs plus trop si c'est lié au stress de subir le regard lourd et désapprobateur de votre collègue "isotherme" ("Comment ça tu as froid? Non moi je trouve qu'il fait bon") sur votre tenue ou bien si c'est l'effet surcouches... En plus d'être moche, vous êtes moite.

Bref de quoi vous mettre de bonne humeur pour toute la journée... Foutues giboulées!

mercredi 7 mars 2012

Carnet Anti-Poisse à l'usage de la Parisienne... 3: Les taxis parisiens

Pour mon travail je viens très souvent à Paris où je virevolte entre les rendez-vous aux 4 coins le la capitale.  Dans ces moments là, il m’arrive assez fréquemment de prendre le taxi. Ce qui pour certaines relève d’une pratique quotidienne, se rapproche plus pour moi et mon côté Jojo de l’aventure avec un grand A. 

Il est terrible de constater que ce qui parait si simple dans la vie façon Sex&TheCity l'est vraiment moins à Paris. J'ai eu beau prendre des cours de "sifflement retentissant et à la fois féminin" et avoir pratiqué le "lever de bras délicat pour interpellation intempestive", rien n'y fait! L'idée selon laquelle on peut interpeller un taxi est un MYTHE. Les taxis à Paris, c'est plutôt quand ils veulent et où ils veulent. Pas tellement quand VOUS en avez besoin. 

lundi 5 décembre 2011

Le sapin ça vient avec des épines

Ouaiiiiiiis, dans quelques jours (bon ok quelques semaines), c'est Noël.  Noël, ses guirlandes, ses chocolats, sa bûche, ses kilos en plus, ses cadeaux... 

Et mince, les cadeaux... 


Ndlr: Bon soyons franches, ce n'est pas vraiment le mot "mince" qui m'est venu à l'esprit quand j'ai commencé à écrire ce post. Mais, on est des gens bien élevés, du coup, on s'auto censure. Voilà. 

Je reprends. Les cadeaux donc. C'est la poisse, les cadeaux. Pas ceux qu'on reçoit bien sûr, hein, faut pas abuser. Non, ce sont les cadeaux pour les autres qui sont une vraie plaie.

Au début on essaye de deviner ce qui ferait plaisir. On se rend compte qu'on est pas très forte pour deviner. Alors on essaye de lire les signes. "Hummm, est-ce parce qu'elle veut  un appareil à fondu qu'elle me répète qu'elle aime la montagne?", " Son allergie au plastique, est-ce pour me faire comprendre que cette année je vais devoir y laisser mon salaire pour des boucles d'oreilles?", " S'il joue à la console tout le temps, c'est peut être pour m'inciter à lui acheter des livres...". On n'est clairement pas très forte pour cela non plus. 

dimanche 4 décembre 2011

Bandits de grands chemins

Il est 18h, on est vendredi, vous trépignez intérieurement. C'est bientôt le week-end. C'est même déjà le week-end dans votre tête. Vous regardez arriver les derniers mails. Vous jugez de leur urgence. Généralement vous décidez, à l'unanimité avec vous-même, qu'ils peuvent attendre lundi. Pire, vous faites comme si vous ne les aviez pas vus. Ce qui ne se voit pas, n'existe pas, n'est ce pas? 

18h15, c'est l'heure. Vous attrapez it-bag, it-manteau, écharpe et Samsonite. Vous parcourez les escaliers à la vitesse de l'éclair, perchée sur vos escarpins, la Samsonite volette à l'arrière. Le collant menace de craquer? Rien à faire! Parce que c'est le WEEK END!

Vous êtes prise d'un doute. Vous fouillez énergiquement dans votre sac. Ouf, ils sont là, vos billets de train. C'est la course mais vous arrivez à l'heure à la gare. Vous jubilez, vous avez 15 minutes d'avance, vous allez pouvoir vous ruer vers le dernier Vogue. 

Vous fendez la foule, encore et encore et ...STOP! Pourquoi est-ce-qu'il y a tant de monde ce soir? D'habitude il n'y a jamais autant de monde. Jamais, sauf quand ... non, pas possible. Non, c'est certain, vous n'avez rien entendu aux infos. Non, pas encore...
Vous osez à peine lever le visage vers la panneau d'affichage. Et là, la vérité s'étale en lettres oranges sur le grand panneau noir: " annulé". Et puis l'annonce fatale retentit "tin tin tin tin En raison d'un mouvement social..."
ARGHHHHHH, NOOOOON, PAS LE VENDREDI SOIR. PAS ENCOOOOOORE! Et bien si, c'est  grève.

vendredi 2 décembre 2011

Carnet anti-poisse à l'usage de la Parisienne... 2

Et aussi de toute autre fille confrontée à l'épreuve de la date au resto. Question fatale: "C'est bon, tu as choisi?" Au moment même où le beau brun finit sa phrase, vous vous décomposez. Vous n'avez pas encore eu le temps d'énumérer tous les scénarios catastrophes potentiellement associés à chacun des mets listés sur la carte. Heureusement, Loulou est là! Et a énuméré pour vous quelques-unes des péripéties, afin de vous éviter de faire un plat. Pour plus de facilité, nous avons pratiqué par catégorie de restaurant...

mardi 29 novembre 2011

La technologie contre-attaque

Dans un monde rempli d'écrans, de combinés, claviers, télécommandes et autres lecteurs, Jo est mise à très rude épreuve. Son encore jeune âge en fait pourtant une contemporaine de ces inventions merveilleuses, ce qui devrait un peu aider... Oui, mais Jo, justement, elle a la poisse. Et il semble que Loulou aussi de ce point de vue là, comme nous vous le contions ici.

Eh bien sachez que la technologie a encore frappé, mais de manière groupée cette fois. Si vous croyez aux fantômes, esprits et autres flipperies surnaturelles, il est vivement conseillé d'arrêter ici la lecture. Car c'est maintenant avéré: nos télés et ordis sont possédés! Je vous jure que c'est vrai, et j'en veux pour preuve les 2 mésaventures suivantes qui nous sont arrivées à Loulou et moi.

Mésaventure n°1: Comme vous ne le savez peut-être pas, j'ai récemment emménagé dans un ravissant studio. Fini papa/maman, vive le frigo vide et le bac à linge salle plein! Vive aussi la pénurie de multi-prise...qui m'oblige à débrancher mon lecteur DVD à chaque fois que je recharge mon portable (pc et téléphone). Oui, cette mise en situation est a-bso-lu-ment indispensable. Un soir, je m'adonne donc à ma routine favorite de branchage/débranchage, prise de pied dans le fil, nez sur le tapis, afin de débrancher mon portable qui a fini sa recharge. Je rebranche le lecteur DVD et vais me coucher, pas peu fière d'avoir respecter la devise de notre Evelyne météorologique, "c'est bon pour la planète". A 5h03 très précises, des voix et une lumière fade me réveillent en sursaut. Ma télé est allumée, sur TF1, et je n'ai pas bougé de mes oreillers (ndlr: à cette heure-ci la chaîne diffuse des films avec des gens dénudés). Je saute hors du lit, saisis la télécommande, éteins la télé, allume la lumière. Commence alors un tour de l'appartement: salle de bain, entrée, placard de cuisine, boîte à sous-vêtements, tout y passe. Personne. Il n'y a personne. Je regarde donc ma télé inanimée, elle aussi. Tu te fous de moi là? Tu vas voir! Je vais te bouder pendant une semaine tu feras moins la maline. Et arrête de me regarder en stéréo s'il te plaît.
Il est à noter que cette mésaventure s'est produite en France dans deux lieux et heures différents, et en Suisse. Loulou et moi sommes poursuivies ça ne fait aucun doute.

mercredi 16 novembre 2011

Pas ce soir

"Tonight is the night..." Ca vous rappelle quelque chose? C'est normal, j'ai emprunté ça à Dexter. Tout lien s'arrête là. Là, je vous parle de LA soirée de l'année (enfin tout du moins, celle de la semaine), prévue de longue date. L'horaire est fixé, le lieu est défini. Vous avez tout booké. Vous avez acheté une bouteille de vin, ce matin vous vous êtes lookée working girl chic... Tout est prêt. Sauf que vous êtes dead. Vous avez eu une journée merdique. 

Si, vous savez, ces journées qu'on attaque pleine d'inconscience, en pensant naïvement que les heures et les minutes qui vous attendent seront un long fleuve tranquille. En réalité, si vous y aviez prêté attention, vous auriez vu les indices qui annonçaient une journée pourrie. Ca commence toujours par une prise de pied dans votre tapis de chambre, un café bouillant renversé sur votre décolleté, des cheveux en mode Simba ou encore une tâche de dentifrice sur votre chemisier noir... Et généralement cela empire progressivement. La nature humaine est étrange. Notre esprit est formaté pour penser que cela va s'arranger. Il vous arrive même de rire de votre maladresse matinale. Erreur. On ne rit jamais à la face du destin. Il a une cruelle tendance à prendre cela pour un défi. 


dimanche 6 novembre 2011

Oui, mais le potentiel de sexyness du cheval reste quand même plus élevé que celui du poney...

Ici, on aime les titres trompeurs. Amis de l'équitation, passez votre chemin. S'il est question de chevauchée dans cet article, elle n'en est en rien équestre, mais on l'espère fantastique. Toute ressemblance avec le mammifère s'en tenant strictement à l'haleine si vous avez des tendances Jo sur l'oreiller, et au membre si Loulou est de votre côté.


Oui, cette fois nous n'allons pas parler de sac, mais de sexe. Le mot est lâché! Rangez les enfants, ça va swinguer! Il faut dire qu'à la rédac, on en connaît un rayon, pas vrai Loulou?

vendredi 4 novembre 2011

Carnet anti-poisse à l'usage de la Parisienne


Ainsi que vous avez pu le remarquer depuis la création de ce blog, ici, on est des pro niveau poisse. Du coup, on s'est dit qu'on allait vous faire partager nos "trucs" pour conjurer un peu le mauvais sort. 


Au programme de ce premier épisode, Le Métro. Moyen de communication ô combien utile et chéri dans notre capitale! Il nous emmène d'un bout à l'autre de la ville un un clin d'oeil ou en une journée de galère. Au choix suivant les jours. Une chose est sûre, c'est qu'il est assez riche en potentiel poisse...

Mise en situation 1. Aujourd'hui, vous avez décidé d'être féminine. Petite robe courte, un peu évasée, vous surfez sur le comeback des années 70. Et franchement, vous êtes plutôt contente de vous. "Ouais, je suis plutôt pas mal aujourd'hui"... Pour parfaire cette journée, déjà ensoleillée par ce petit look, il reste des places assises sur les strapontins. Ce n'est pas la première classe, certes, mais ça fera l'affaire. Rien ne peut vous atteindre, vous êtes d'une humeur parfaite. En plus, vous avez remarqué le beau brun à la barbe de 3 jours, assis dans le carré juste derrière. Serait-ce un sourire qu'il vous a adressé? Bref, vous vous asseyez, le trajet se passe et toute à votre rêverie, vous laissez presque passer votre arrêt. Sortie en catastrophe. La robe se coince dans le strapontin qui se relève en même temps que vous. Là, c'est sûr qu'il doit bien rigoler votre ténébreux! 

mercredi 2 novembre 2011

Avis aux habitants de l'immeuble...

... bla bla bla.... insecticide.... bla bla bla... lundi 9h (m'en fous, je serai déjà partie au bureau)... bla bla bla... clés à la concierge (ok je ferai ça en partant)...

Si vous êtes comme moi et que les messages affichés dans les ascenseurs vous font l'effet ci-dessus, lisez attentivement ce qui peux vous arriver...

Lundi matin 9h15: sortie de la douche, cheveux mouillés, pas du tout habillée (i.e. même pas dans ma tête), complètement à la bourre, réunion à 10h. Quand soudain, ma sonnette retentit! En 2 secondes à peine, le message que je n'avais pas lu me revient en tête. Lundi matin, c'est aujourd'hui. Il est 9h passées. C'est pour l'insecticide. Heureusement, la concierge n'a pas les clés! Vous imaginez le désastre! 

vendredi 28 octobre 2011

La technologie, la jugeote, et moi...

Comme notre article introductif le suggérait, il nous arrive parfois d'avoir des problèmes de connexion... de neurones. C'est vrai que s'ils n'étaient que deux, ce serait plus facile. Moins d'interférences, plus de facilité au niveau de la communication. Eh oui, pas facile de gérer tous ces petits organes en même temps, vous allez le voir.

Je vous plante rapidement le décor. Un mail à mon maître de mémoire pour convenir de ma date d'oral pour le mois suivant. Trois semaines après, toujours pas de réponse. Fait qui me semble très étrange, car elle est en général plutôt au taquet sur ses mails. Du genre à répondre de son BlackBerry un dimanche pendant Michel Drucker. Mais là, rien. Inquiète, très inquiète même et un peu énervée, je vérifie pour une millionième fois la date d'envoi, l'accusé de réception: tout y est. Je n'ai rien oublié et en plus, le message est clair. Soudain, mon regard se dirige vers le haut du message dans la case réservée à l'adresse mail du destinataire. Et là, oh surprise! Mon adresse mail! A la place de celle de mon maître de mémoire... C'est sûr qu'elle ne risquait pas de répondre... Bon je me rassure en me disant, que l'honneur est sauf, je ne me suis pas répondu... Hum...

jeudi 27 octobre 2011

Ca roule...

Vous vous rappelez cette sombre histoire de pneus neige... Elle vient de se transformer en running gag. Figurez vous que j'ai voulu les faire monter mes chers (très chers) pneus. Et j'avais retenu la leçon. Il fallait que je sois prévoyante. Alors prévoyante au possible, je prends rendez-vous pour le montage dans un garage près de la résidence familiale. 

Pour ceux qui avaient lu la précédente note, ils auront retenu que lesdits pneus devaient être montés jeudi. Et bien non. En fait pas. Je vous épargne les détails. Ce qu'il faut retenir c'est que mes pneus, ils sont un peu comme les pigeons, ils sont voyageurs. Et ils puent. Bref. J'avais donc rendez vous ce jour au garage local pour le montage de mes pneus neige. Pas peu fière de mon organisation ( 1- j'avais les pneus 2- j'avais un rdv) je me pointe à l'heure au garage. Jusque là tout va bien. Pas de neige, un soleil à faire pâlir le mois d'août et j'avais même penser à prendre ma carte grise. 

Oui, ça aurait pu être parfait. ça aurait pu bien se passer pour un fois. Oui, mais non. Parce que vous savez quoi? Les pneus n'étaient pas les bons. 
Je m'explique. Aucune des dimensions n'étaient les bonnes. Enfin si elles étaient bonnes, mais pas pour Tuture. Alors là, plusieurs choix s'ouvrent à moi. Je peux mettre Tuture au régime Dhukan. Ca cartonne en ce moment. Mais je sentais Tuture pas franchement partante. Je pouvais aussi changer de voiture et en acheter une qui correspondrait aux pneus. Ou alors j'appelle le Garage responsable de cet achat et je réclame Justice (non ce n'est pas le nom du vendeur Loulou).